J60 : Le retour à Barossa @ Panmure -> Nuriootpa /NSW 15943Km (13/12)
Aujourd’hui c’est un de nos derniers moments de complicité avec mon fidèle Pinta-Pinta.
Et je me suis également fait une frayeur en arrivant à la distillerie , quand dans un silence de plomb je me fit accueillir par le gardien.
Il est 17h30 .
D’habitude la distillerie ferme à 17h , mais là , on est vendredi , ils ferment à 18h.
L’honneur est sauf.
C’est à côté d’un champ de blé que nous établirons notre dernier campement.
Une fois installé et mon rangement terminé, j’engage un dernier festin dans la casserole et le savoure au calme devant un dernier coucher de soleil.
Bonne nuit mon bon Pinta.
Ne pleure pas mon cher journal...
Nous avons 640 kilomètres à parcourir avant de rejoindre la vallée de Barossa.
Là où ça a vraiment commencé entre nous.
Il faut que malheureusement je le rende aux Ténardiers à qui je l’ai subtilisé demain matin.
Ce n’est pas très loin d’Adelaïde , ça nous fera une dernière nuit “nature “ entre complices.
De plus je dois absolument aller à la distillerie de Seppeltsfield acheter une bouteille de gin.
En début de séjour j’avais acheté une bouteille de leur superbe gin.
J’avais promis de la ramener en France pour la partager avec une amie avec qui nous partageons la même passion (récente) pour le gin.
Elle n’a pas cru que la bouteille tiendrait le voyage.
Il faut que je lui prouve le contraire.
Donc aujourd’hui , ce sera entre lui et moi .
Saint John sera notre guide.
Nous quittons donc cette aire de repos si accueillante plutôt rapidement.
Il ne se passera pas grand chose durant ce trajet maussade.
Je n’écouterai pas trop de musique , je reste pensif.
J’écoute beaucoup le moteur de mon destrier.
Je pense à la France , à mon retour.
Je suis resté très éloigné de tout ce qui était français pendant tout le séjour.
Je me fais un premier palier avant le retour , cela donnera l’occasion de découvrir à Pinta un peu de notre culture.
Nous ne sommes pas que des voleurs de supermarché.
Il ne se passera pas grand chose de très intéressant durant le voyage à part que je me suis fait une frayeur au moment où j’ai croisé la route de ce troupeau traversant.
Et je me suis également fait une frayeur en arrivant à la distillerie , quand dans un silence de plomb je me fit accueillir par le gardien.
Il est 17h30 .
D’habitude la distillerie ferme à 17h , mais là , on est vendredi , ils ferment à 18h.
L’honneur est sauf.
C’est à côté d’un champ de blé que nous établirons notre dernier campement.
Une fois installé et mon rangement terminé, j’engage un dernier festin dans la casserole et le savoure au calme devant un dernier coucher de soleil.
Bonne nuit mon bon Pinta.
Ne pleure pas mon cher journal...
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