J43 : Le cool @ Currumbin beach -> Bom Bom forest /NSW 9076Km (25/11)
Étant arrivé un peu tard sur l’aire de repos la veille , j’ai du me taper une des moins bonnes places.
Près des toilettes...
À côté de ces toilettes , le matin se monte un food truck qui sert des petits déjeuner.
Un car arrive et décharge ses trente gamins juste devant mon van.
Je démarre en trombe et file pour Byron bay , la ville soit disant la plus cool d’Australie.
C’est selon le lonely planet la ville qui représente la bohème.
Un peu le San Francisco Australien , en beaucoup plus petit , avec une baie magnifique.
Après une bonne dose de double espresso à la mode station service je file à la plage!
Pas au lagon.
Pas de saisons des méduses ou de requins , on est cool ici.
On est tellement cool ici qu’on surfe en famille.
L’eau est plus fraîche ici et la vague est plus grande.
C’esr un endroit pour faire de la planche et non pour faire la planche.
Allez hop je vais en ville.
Sur le parking j’entend un fond sonore qui sort du garage de la maison derrière moi.
Près des toilettes...
À côté de ces toilettes , le matin se monte un food truck qui sert des petits déjeuner.
Un car arrive et décharge ses trente gamins juste devant mon van.
Je démarre en trombe et file pour Byron bay , la ville soit disant la plus cool d’Australie.
C’est selon le lonely planet la ville qui représente la bohème.
Un peu le San Francisco Australien , en beaucoup plus petit , avec une baie magnifique.
Après une bonne dose de double espresso à la mode station service je file à la plage!
Pas au lagon.
Pas de saisons des méduses ou de requins , on est cool ici.
On est tellement cool ici qu’on surfe en famille.
L’eau est plus fraîche ici et la vague est plus grande.
C’esr un endroit pour faire de la planche et non pour faire la planche.
Allez hop je vais en ville.
Sur le parking j’entend un fond sonore qui sort du garage de la maison derrière moi.
Ça habille parfaitement l’image de la ville cool qui se réveille.
Il est 10h , les australiens se lèvent beaucoup plus tôt.
C’est vraiment à la cool ici!
Il faut que j’aille en ville donc , pour visiter , certes , mais aussi pour aussi me racheter une paire de flip flop.
Il fait trop chaud pour marcher en chaussures et le sol est trop brûlant pour marcher pieds nus.
Il fait trop chaud pour marcher en chaussures et le sol est trop brûlant pour marcher pieds nus.
Bonheur dans mon malheur ?
Qu’y a-t-il de plus cool que d’acheter la paire de souliers la plus cool dans la ville la plus cool?!?
Facétieux Phil...
Une affaire rondement menée , une bonne version de plagiste.
Le reste du village est un village de bran...heu de surfeurs.
Avec son petit magasin de babos.
Devant les magasins on affiche le swell du jour (gros swell , grosse vagues)
Mais surtout , ici , même les papis sont cool!
Petite pause club cheese sandwich au parc , avant d’aller visiter le phare.
Pendant que je suis en train d’accéder à l’entrée du phare avec Pinta , j’entends aux infos de midi à la radio que les bushfire ont repris de plus belle.
Le cœur du réacteur est entre Brisbane et Sydney.
Exactement ma route...
C’est un petit phare datant de 1901 , mais néanmoins le plus puissant d’Australie.
On peut le visiter , mais avant je voudrais me faire la balade qui va en haut de la falaise à la plage.
On n’a pas l’impression comme ça mais le swell est gros aujourd’hui.
Les vagues viennent bien s’éclater sur les rochers.
C’est assez beau et impressionnant de près.
On se croirait en Bretagne , sauf qu’il fait beau.
La visite du phare se fait par roulement de 10 personnes tous les quarts d’heure.
Je viens de louper le coche je dois attendre 15 minutes en bas.
La dernière famille ayant vécu dans le phare.
La vue de la fenêtre du bas.
Je demande à notre guide si elle en sait un peu plus sur les bushfire et l’état des routes.
On voit de la fumée au loin.
Elle me conseille de télécharger une appli qui suit en direct l’état d’avancement des incendies.
Je télécharge australianfires donc.
Dans mon cortège nous sommes neuf japonais et moi.
Impossible de faire une photo avant le sommet.
C’est tout petit , ils prennent tous les espaces pour poser sur les photos.
Très belle vue en haut.
Byron bay , où l’on distingue un peu la fumée
Le point de départ de la promenade.
La maison que se loue Keith Richards 6000$ la nuit quand il vient là et qu’il a envie d’être cool.
Merveilleux panorama.
La visite se termine , la guide nous expliquera 10 fois que c’était gratuit mais qu’il y a quand même une boîte de donations.
Les guides sont bénévoles.
Je lache 2,3 pièces pour monter l’exemple , aucun jap n’y mettra un centime de yen.
Suis pas sûr qu’ils pigent bien le concept.
Bon maintenant je checke sur mon appli où je peux trouver un free camp un peu plus au sud.
Un endroit où donc le camping est autorisé.
Je trouve le Bom Bom state forest , ça à l’air très bien.
À mi-chemin je rencontre cette aire de repos qui attise ma curiosité.
Une aire subtilement décorée aux couleurs de l’Italie.
Donc en temps normal on peut aller visiter la maison où la famille Antoniolli est venu vendre du vin à la fin du 19eme siècle , arrivant avec la deuxième vague de colons.
C’est une maison musée avec une boutique de souvenirs à la fin où l’on peut prendre un café.
Et ça c’est Luigi Antoniolli , le padre.
Mais du coup bushfire oblige , c’est fermé... Stupido!
J’en profite pour essayer de parler un peu à Margarita mais , elle me dit qu’elle n’a pas le temps, que je la prend un peu au dépourvu.
Je commence ensuite à voir apparaître les stigmates des bushfire.
Bon maintenant je checke sur mon appli où je peux trouver un free camp un peu plus au sud.
Un endroit où donc le camping est autorisé.
Je trouve le Bom Bom state forest , ça à l’air très bien.
À mi-chemin je rencontre cette aire de repos qui attise ma curiosité.
Une aire subtilement décorée aux couleurs de l’Italie.
Donc en temps normal on peut aller visiter la maison où la famille Antoniolli est venu vendre du vin à la fin du 19eme siècle , arrivant avec la deuxième vague de colons.
C’est une maison musée avec une boutique de souvenirs à la fin où l’on peut prendre un café.
Et ça c’est Luigi Antoniolli , le padre.
Mais du coup bushfire oblige , c’est fermé... Stupido!
J’en profite pour essayer de parler un peu à Margarita mais , elle me dit qu’elle n’a pas le temps, que je la prend un peu au dépourvu.
Je commence ensuite à voir apparaître les stigmates des bushfire.
Pas de flammes mais juste la fumée et l’odeur de la cheminée de chez papi et mamie.
Ça s’intensifie de plus en plus.
Bon j’espère que ça va se tasser , je n’ai pas d’autres alternatives pour descendre.
En attendant je ferme les fenêtres et mets la clim.
Ça fait une lumière bizarre.
C’est beau... mais c’est très triste...
La faune en prend un sacré coup.
Plein de koalas sont morts et ils ont perdu un truc du genre 70% de leur habitat naturel.
Ça fini par se tasser un peu , je m’arrête dans un petit village au bord de la Clarence river.
J’ai l’impression d’être au bord du Mississippi.
La fumée est bien dissipée à mon arrivée à la Bom Bom forest .
Il y a un van installé aussi.
Je me sens un peu rassuré.
Nous nous installons peinard avec Pinta.
L’autre van s’en va , je fais quand même un petit point sur la situation avec mon appli , ça a l’air d’aller.
Moi je suis là , au bout de la flèche dans la petite forêt en forme de coeur.
Les animaux chantent.
Est ce un chant de victoire où un avertissement ?
Je ne sais pas...
Sur cette douce musique je retourne dans ma cabane et te souhaite une bonne nuit cher journal...
Mouhahaha!
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