J42 : La nouvelle Galles du sud @ Brisbane -> Currumbin beach /NSW 8853Km (24/11)

Commencer une journée sous l’augure de Phil Collins n’a jamais laissé présager quelque chose de bon.


Me levant l’humeur un peu raleuse d’un lendemain de sortie un peu arrosée , me coller du Phil Collins d’emblée sous la douche , c’est pas très fair-play.
Ça va y aller les critiques sur trip advisor.

Check out classique à 10h , direction la Ernest street (pensée au grand père)

C’est là bas que j’y trouverai le lagon artificiel de la ville.

C’est plutôt cool il y a des spots à escalade dans la ville.



Petite grimpette du dimanche pour finir dans ce super lagon au cadre un peu inhabituel , avec ces gratte-ciels en fond.


Je croise l’inutile (toujours dans les plans baignade celui là)


Je traine quasiment deux heures là bas , c’est le plus agréable que j’ai pu faire d’ici là.
Après le bain je craque sur un milk shake beurre de cacahuètes / cacao / framboises confites



Franchement , c’était trop bon...
Exactement ce qu’il fallait avant d’aller au GOMA


Expo permanente d’artistes contemporains Australiens.
Surtout de la photo / vidéo / peinture.
J’apprécie les œuvres mais je déambule un peu sans vraiment lire ce qu’il y a sur les panneaux.
La soirée de la veille m’embue un peu.





Le bâtiment n’a rien d’exceptionnel , il y a une petite terrasse / promenade autour , avec vue sur la ville pas désagréable.



Je replonge dans le musée pour y voir la révolte des kangourous 


Et une photo d’Aldo Maccione


La classe.

Il est temps pour moi de quitter le monde merveilleux de l’art contemporain pour un retour à la nature.


Un dernier tour à l’extérieur du musée et je prend la route pour le New South Wales.
J’aimerais bien passer la frontière avant la nuit.



Adieu Brisbie.


See you in may...


Au départ je veux passer la nuit à Gold Coast , 40 minutes plus au sud sur ma route car le nom m’inspire .
Je passe la frontière , pas de panneau un peu spectaculaire pour nous prévenir.
En arrivant , je déchante , c’est une grande ville.
J’ai envie d’un peu plus de tranquillité , je pousse plus bas jusqu’à Surfer’s paradise ( c’est le nom de la ville) .
C’est une grande plage de sable blanc et fin avec écoles de surf un peu partout.
Mais comme le nom de la ville l’indique , c’est le paradis des surfeurs et donc l’enfer du camping sauvage.
Il y a des panneaux interdit de stationner la nuit sur tous les parkings.
Je repère une aire de repos sur mon appli un peu plus dans les terres .
D’ici là je me repose sur la plage.
Au moment où je vais chercher ma pizza à emporter (c’est dimanche).
La sentence tomba.


L’oeil de Phil Collins frappa flip.
Putain Phil!

La pizza dans le van je m’arrête saluer une dernière fois le paradis avant de rentrer dans les terres.


Phil a au moins respecté ma pizza , qui était très bonne.


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